Si vous n’avez jamais reçu de séance de réflexologie plantaire, je vous offre dans le cadre de cet événement l’opportunité de venir faire un soin découverte de 30 minutes pour un tarif de 20 euros. Vous pourrez ainsi expérimenter les bénéfices que procure un tel soin, tant sur le plan physique que mental.
A vos agendas…
Avec son cortège de températures tantôt hautes tantôt basses, d’humidité, de journées courtes qui nous prédisposent à la morosité, nous voici assaillis par une fatigue qui nous donne envie d’être comme l’ours blotti au fond de sa tanière jusqu’au printemps.
Les rhumes semblent nous guetter à l’angle de chaque journée et la tristesse due au manque de lumière peut affecter grandement notre enthousiasme et notre joie de vivre.
Notre énergie s’est mise en mode économique et nous avons l’impression que nous n’en aurons jamais assez pour tenir jusqu’au retour des beaux jours.
Mais rappelons-nous… l’année dernière, nous avons pensé et ressenti la même chose et puis…le printemps est revenu avec son regain d’énergie.
La réflexologie peut aider notre organisme à traverser cette période hivernale avec plus d’élan et de joie de vivre.
Quelques séances de réflexologie plantaire peuvent faire toute la différence et vous redonner tonus et entrain.
En stimulant notre circulation sanguine et nos organes, la réflexologie plantaire active notre système énergétique et renforce nos défenses ce qui nous permet de mieux lutter contre les maux de l’hiver.
MON OFFRE D’HIVER : FORFAIT DE TROIS SEANCES DE REFLEXOLOGIE
TARIF : 110 €
Alors… A VOS AGENDAS !!!
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Parmi les personnes que je reçois, il n’est pas rare que celles-ci traversent des problèmes de santé importants, des périodes conflictuelles (séparation), des épuisements professionnels, des deuils, des difficultés dans la relation mère-bébé, des périodes à fort enjeu (examens, diplômes…), engendrant une forte anxiété.
L’inconfort psychique et émotionnel générés par l’anxiété peuvent rapidement devenir envahissant pour la personne qui en souffre.
Anxiété sociale, anxiété professionnelle, anticipation permanente d’échecs, stress, troubles du sommeil… elle est source d’épuisement et de souffrance.
Les manifestations neurovégétatives liées à l’angoisse malmènent particulièrement le corps : tension interne, maux de ventre, troubles digestifs, raideur musculaire, sensation physique d’oppression, palpitations cardiaques, sueur, boule dans la gorge.
C’est tout le corps qui exprime un mal-être à entendre.
A divers degrés de souffrance, certaines propositions de soin peuvent être très précieuses pour les personnes.
Si dans certains cas celles-ci s’avèrent un soutien provisoire indispensable, la prescription médicamenteuse anxiolytique est toutefois souvent proposée avant l’essai de propositions « douces » et naturelles, comme la psychothérapie ou les thérapies corporelles (relaxation, sophrologie…).
Avant d’envisager ce type de thérapies, l’approche proposée par la réflexologie plantaire peut représenter une perspective précieuse de soulagement pour la personne souffrant de stress. Soulager leur anxiété est une indication fréquente chez les personnes que je reçois.
Réflexologue dans l’Hérault (Béziers), je propose des séances pour soulager ces troubles. Il est important d’expliquer les fondements de cette méthode pour comprendre l’aide qu’elle peut apporter.
Sans se revendiquer d’une pratique médicale, la méthode s’inspire toutefois de principes de la médecine chinoise.
Sensible et très innervée, la voûte plantaire est le réceptacle de plus de 7000 terminaisons nerveuses. Véritable projection du corps, de très nombreuses correspondances sont présentes entre certaines zones du pied et les organes, les articulations, les glandes endocrines.
Si l’on parle de « réflexologie », c’est parce que le massage qui intervient sur des zones très précises stimule les organes par le déclenchement d’une action dite « réflexe ». Cette dernière va alors remobiliser les capacités d’assimilation et d’élimination du corps par stimulation des circulations sanguine et lymphatique.
Les zones spécifiquement travaillées durant le massage réflexologique vont permettre de soulager les symptômes propres à l’anxiété.
La configuration de mes séances de réflexologie plantaire est tournée vers la détente : accueil de la personne, empathie de ma posture, mise en confiance, position allongée ou semi-allongée sur un fauteuil relax, musique douce.
A mesure du soin, la personne se laisse aller, lâche prise, s’assoupit parfois.
L’aspect très enveloppant du cabinet (couleur chaudes, musique, huiles essentielles, position relaxante, relation d’aide) offre un accueil « contenant » pour la personne en souffrance.
Le temps de soin est précédé d’un temps de parole préalable. Parler des motifs de sa venue est déjà un premier pas qui permet de faire baisser l’anxiété.
Mon cabinet de réflexologie et ma pratique créent ainsi les conditions d’une « bulle » protectrice et de fait un cadre sécurisant pour s’écouter : écouter sa parole et davantage encore son corps.
J’ai précédemment parlé de cette « bulle » à propos des jeunes mamans que je reçois avec leur bébé.
Le dernier temps de la séance porte sur le vécu du soin. Les personnes parlent souvent d’une sensation de profonde reconnexion avec leur corps.
C’est ce qui m’amène souvent à mentionner combien la séance est un « temps pour soi », étanche de toutes les sollicitations de l’extérieur, du travail, des collègues, de la famille.
Par les correspondances entre nos pieds et différentes zones du corps, par la mobilisation de la sensorialité interne et externe, le travail ouvre en effet la personne à un profond recentrage sur soi.
Aussi la répétition de quelques séances peut-elle s’avérer précieuse pour accompagner vers un soulagement de certains troubles anxieux.
Après la relaxation procurée par la séance, j’observe chez mes patients un visage détendu, un corps relâché, une posture redressée, une meilleure disponibilité, un timbre de voix plus apaisé, une sensation d’être « aligné ».
Au-delà du soin réflexologique proprement dit, il est donc important de souligner la dimension globale de la séance, comprenant accueil, relation d’aide, écoute, détente, sensorialité apaisante.
Des conditions de précieux augure pour le mieux-être de la personne en souffrance.
Anne Nguyen
Réflexologue en Hérault
Les relations précoces sont déterminantes pour la construction psychique du bébé. Pris dans une interaction avec son entourage et particulièrement sa maman, il est totalement dépendant de son environnement maternant pour subvenir à ses besoins corporels mais aussi psychiques.
Pour saisir les apports de la réflexologie plantaire chez le nourrisson, il est nécessaire de comprendre le tout-petit, d’aller le chercher « là où il en est » dans son développement.
De ce fait, je peux d’emblée souligner le primat et l’intensité de la sensorialité dans la première année de vie, particulièrement celle qui concerne la surface du corps.
On sait combien le portage est un acte déterminant dans la construction psychique du bébé.
La manière de manipuler physiquement le bébé, de le cajoler, de lui parler, de le regarder, lui fournissent des appuis essentiels.
Psychologue à Pézenas, Guillaume explique : « La mère fait figure d’un attracteur qui va permettre à l’enfant de faire converger et rassembler sa sensorialité éparse. Il se sent ainsi contenu, maintenu, unifié. L’état psycho-corporel et le bien-être de la maman est donc primordial dans la dyade. En effet, le bébé est une véritable « éponge » vis-à-vis de son environnement, particulièrement sensible aux messages corporels qu’on lui envoie. »
Avez-vous ainsi conscience que vous dîtes autant (si ce n’est plus !) de choses à votre nouveau-né dans le dialogue tonico-postural que dans les mots ?
Telle ou telle maman que je reçois dans mon cabinet de réflexologie à Béziers, fragilisée par son actualité (stress, fatigue, anxiété, dépression…), parfois peu confiante dans sa compétence maternelle (pourtant si grande!), peut mal supporter les pleurs de son enfant, se raidir corporellement.
Il ne s’enroule plus dans les bras, il ne s’ajuste pas, se raidit à son tour, ne dort pas bien, se réveille dès que sa mère quitte la pièce, pleure souvent… Dans un mouvement de spirale, la maman est fatiguée, tendue, une co-excitation s’installe entre elle et son petit.
Il faut comprendre qu’un bébé n’a pas encore tous les équipements sensoriels et psychiques qui lui permettent de traiter et de rassembler les informations qu’il reçoit (faim, fatigue, inconfort postural etc…).
C’est son environnement qui lui permet de donner du sens aux sensations et aux émotions qui le traversent, particulièrement sa maman qui lui parle, le regarde, le caresse, lui chante des chansons.
La sensorialité est le premier dialogue avec le bébé. L’odeur de la mère est une des enveloppes les plus primitives. Par le biais de la gustation du liquide amniotique, il en est littéralement imprégné.
La voix maternelle est aussi cruciale. Dans le ventre, elle résonne le long de la colonne vertébrale et le bébé l’entend, la reconnaît très tôt. On comprend tout de suite combien un linge imprégné de l’odeur de la maman peut instantanément apaiser un nourrisson, tout comme le chant d’une berceuse.
Quand un bébé à faim, il ne sait pas qu’il a faim ! Ce qu’il ressent est une sensation très désagréable quelque part dans son corps. Il ne sait qu’il a faim que progressivement, parce que spontanément vous lui expliquez que ce qu’il ressent correspond à cela.
Regardez-vous parler à un bébé, vous passez votre temps à lui parler de ce qu’il ressent : « tu as faim ! », « ouhh tu es en colère », « ah tu es content tu me souris », « tu me regardes ! »…
En traitant pour lui ses vécus, vous lui restituez quelque chose de plus assimilable pour lui. Comme si, en quelque sorte, vous aviez « prémâché » pour qu’il puisse mieux « digérer »
La maman est naturellement pourvue de compétences extraordinaires pour s’adapter à son bébé. Décrite par le pédiatre Donald Winnicott, la jeune mère développe la fameuse « préoccupation maternelle primaire ».
Il s’agit là d’une hypersensibilité à son bébé. L’essentiel de ses pensées est tourné vers le confort de son tout-petit.
Mieux que quiconque, elle apprend à décrypter, comprendre, deviner les besoins de son enfant. Elle est capable d’entendre les pleurs de son bébé dans la chambre au milieu d’une soirée entre amis !
C’est de la sorte que lorsque je reçois de jeunes mères avec leur nourrisson, je m’appuie évidemment sur cette compétence extraordinaire. Elles ont besoin avant tout d’être rassurées sur leurs capacités, d’être peut-être même contenues par la réflexologue afin de pouvoir contenir leur enfant.
La surface corporelle du bébé est un réceptacle primordial pour échanger avec lui. Le positionnement de l’enfant contre le ventre de sa mère est très sécurisant pour lui, offrant l’appui très sécure des fesses et du bas du dos, tel qu’il l’avait dans sa vie intra-utérine.
L’accueil de la réflexologue contient et apaise progressivement la maman. Elle se détend, s’apaise, son tonus s’assouplit. Le bébé aussi. L’incidence est immédiate dans le dialogue corporel entre le corps de la maman et celui du tout-petit.
Si le massage réflexologique permet de traiter les zones à rééquilibrer chez l’enfant, il est avant tout un biais extraordinaire pour parler à la dyade.
La « bulle » permise par le cocon du cabinet et mon accueil procure une détente à l’enfant et à la maman.
Pendant le soin, je vais parler de l’enfant à la mère et inversement. Le bébé exprime une myriade de compétences sur lesquelles j’interpelle la maman, ce qui est très gratifiant pour l’une comme pour l’autre. Le soin invite à des paroles, à parler au bébé de ses ressentis.
En montrant ensuite à la maman les zones plantaires à masser, je l’invite à engager un dialogue corporel avec son enfant, avec ce que cela comporte d’échange de regards, de sourires, de plaisir partagé.
La mère va pouvoir s’approprier des outils qu’elle pourra continuer d’utiliser à la maison, dans les moments calmes avec l’enfant ou avant l’endormissement.
Ce soin est un véritable temps de rencontre qui permet à la maman de se rassurer sur sa compétence. Une capacité naturelle et spontanée dont elle ne soupçonne parfois pas l’étendue.
Anne Nguyen
Réflexologue à Béziers
En cette période où nous souhaitons de la douceur à nos proches, je vous propose de leur faire découvrir les bienfaits de la réflexologie. Je mets à disposition des bons-cadeaux qui pourront être utilisés tout au long de l’année.
La séance dure environ heure. Un temps d’apaisement pour soi, qui procure un sentiment de bien-être et d’harmonie intérieure. La détente amenée par le soin est très profonde.
Pour les personnes qui ne connaissent pas encore la réflexologie, vous trouverez sur mon site des explications simples sur les principes de cette méthode douce, inspirée de la médecine chinoise traditionnelle. Vous trouverez également les nombreuses indications pour lesquelles elle apporte ses bienfaits (pour en savoir plus cliquez ici).
Mes bons-cadeaux sont disponibles à mon cabinet et vendus au prix de 50 euros, utilisable tout au long de l’année. Vous pouvez également me contacter par mail pour vous en procurer: reflexologie-beziers@laposte.net
Cabinet de réflexologie, 74 avenue Jean Moulin à Béziers, ligne de bus n°3, arrêt Carré de l’Hort, facilités de stationnement gratuit.
Cela fait plusieurs années que je reçois des soins en réflexologie plantaire par Anne Nguyen. D’un tempérament très anxieux, je vois parfois mon sommeil perturbé. Je n’attends pas pour faire appel à ce soin car cela me procure une profonde détente et améliore toujours mon sommeil dont la qualité est aujourd’hui bien stabilisée. Les troubles digestifs liés à mon anxiété régressent également après chaque séance. A chaque fois, ce soin est un vrai moment de bien-être et m’apporte beaucoup de sérénité.